PHOTO : Partenaires depuis quelques années, deux entreprises ont choisi de déménager à Magog en raison « du dynamisme et de l’effervescence de la communauté TIC » existant en sol magogois. Michel Tousignant, président Solutions informatiques Logicware, Céléna Dubuc, directrice générale de Magog technopole, et Claude Cyr, président de Maintenance directe, ont souligné ce nouveau départ lundi.
SPECTRE MÉDIA, RENÉ MARQUIS

JEAN-FRANÇOIS GAGNON
La Tribune
Publié le 07 novembre 2016 à 21h32

(Magog) Deux nouvelles entreprises du secteur des technologies de l’information et des communications (TIC), Solutions informatiques Logicware ainsi que Maintenance directe, ont décidé de quitter Sherbrooke pour s’installer à Magog.

Partenaires depuis quelques années, les deux entreprises ont choisi de déménager à Magog en raison « du dynamisme et de l’effervescence de la communauté TIC » existant en sol magogois. La qualité de vie qu’on retrouve à Magog a également séduit les dirigeants des deux entreprises.

Président de Logicware, Michel Tousignant souligne avoir déjà dirigé une entreprise qui était établie à Magog. « On a eu une douzaine d’employés à une époque », révèle-t-il.

Actuellement, Logicware emploie quatre personnes. Mais son président croit possible que 10 à 15 postes, sinon plus encore, soient créés au cours des prochaines années. « On a un gros projet dans le domaine de la santé et, si il fonctionne, ça aurait un impact significatif », déclare-t-il.

Logicware « se spécialise dans le développement et l’intégration de solutions d’affaires innovantes, principalement destinées aux secteurs manufacturier, de la santé et du conseil en TI. »

Gestion automatisée

Pour sa part, Maintenance directe oeuvre, comme son nom l’indique, dans le domaine de la maintenance. Les organisations qui ont recours à ses services souhaitent habituellement « mettre en place une gestion automatisée de la maintenance assistée par ordinateur ».

La mairesse de Magog, Vicki-May Hamm, salue l’arrivée de ces deux PME dans sa ville. « Je pense que plus personne à la Ville ne remet en question l’idée de mettre de l’argent dans les TIC », déclare-t-elle.